Quand l'art devient une prière
Le Saint-Esprit a ensuite soufflé à travers des ateliers créatifs, prouvant que la guérison passe aussi par l'expression et la libération.
L'atelier de peinture (Jizreel Diabaté) : Les toiles blanches sont devenues des autels. Chaque coup de pinceau, chaque couleur choisie, était une prière silencieuse, une manière de déposer les douleurs, les colères et les chagrins aux pieds de la croix. Des larmes se sont mêlées aux peintures, transformant le chaos intérieur en une œuvre d'art unique, témoignant d'une beauté naissante.
L'atelier de danse (coach syntiche priscilia) : Au son de louanges inspirées, les corps se sont déliés. Ce n'était pas une performance, mais une adoration prophétique. Chaque mouvement est devenu une déclaration de liberté, brisant les chaînes de la honte et de la timidité. Comme David dansant devant l'arche, les femmes ont célébré la joie de se savoir aimées et restaurées par le Roi.
L'atelier de théâtre (Coach Chrisostome Gaury) : Mettre en scène les blessures pour mieux les surmonter. À travers de courtes pièces, les participantes ont pu prendre de la distance avec leur propre histoire, la voir sous un autre angle et, ensemble, réécrire la fin. La victime laissait place à l'héroïne que Dieu a toujours vue en elle.
Cicatrice n'a pas été un simple événement ; ce fut une rencontre divine. Chaque femme est repartie, non pas sans ses cicatrices, mais avec une nouvelle perception de celles-ci. Elles ne sont plus des marques de honte, mais des rappels puissants de la bataille que Dieu a remportée pour elles. Elles sont la preuve que là où le péché et la douleur ont abondé, la grâce de Dieu a surabondé. Gloire à Lui seul !